[Image d’un grand plan d’eau avec une mouette volant vers la caméra. Les logos de la Division des pêches et de la faune et de l’Ontario apparaissent à l’écran.]
Narrateur : Les ressources halieutiques de l’Ontario sont un élément important de sa biodiversité
[Vue aérienne du bâtiment de la station piscicole de Harwood.]
Narrateur : et contribuent au bien-être économique, social et environnemental de la province.
[Image d’une station d’empoissonnement.]
Narrateur : Le ministère des Richesses naturelles de l’Ontario,
[Gros plan sur une personne qui tourne le moulinet de sa canne à pêche.]
Narrateur : également connu sous le nom de MRN,
[Image d’un hélicoptère jaune en train d’empoissonner un lac.]
Narrateur : a recours à l’empoissonnement, entre autres techniques, pour soutenir la gestion durable de ces pêches.
[Image de poissons dans un réservoir.]
Narrateur : Le Programme de gestion de la pêche et de la faune du MRN procède à
[Image d’un lac depuis l’arrière d’un bateau-remorqueur.]
Narrateur : l’empoissonnement pour deux principales raisons :
[Image d’une femme qui procède à l’empoissonnement depuis l’arrière d’un bateau-remorqueur.]
Narrateur : conserver et restaurer les populations de poissons qui se reproduisent naturellement
[Gros plan de poissons déversés à l’aide d’un tuyau.]
Narrateur : ainsi que soutenir, créer,
[Image d’un homme lançant sa canne à pêche dans un lac.]
Narrateur : améliorer et maintenir les possibilités de pêche.
[Image de poissons dans un réservoir avec les mots « 8 millions » à l’écran.]
Narrateur : Chaque année, près de 8 millions de poissons appartenant à 11 espèces différentes
[Image d’un poisson dans un réservoir.]
Narrateur : sont empoissonnés dans 1 200 plans d’eau publics,
[Image d’un lac.]
Narrateur : dont les Grands Lacs et les lacs intérieurs.
[Image du panneau du Programme d’empoissonnement de l’Ontario.]
Narrateur : Le Programme d’empoissonnement de l’Ontario est géré par
[Image de la station piscicole de Chatsworth.]
Narrateur : un groupe de personnes très dévouées et hautement qualifiées
[Image d’un homme qui conduit un véhicule intérieur en marche arrière.]
Narrateur : composé de techniciens, de biologistes,
[Image d’un homme et d’une femme se tenant debout à une table en train de travailler avec des œufs de poissons.]
Narrateur : de gestionnaires des pêches et de scientifiques.
[Image d’un homme qui met des poissons dans un réservoir à l’aide d’un boyau d’empoissonnement.]
Narrateur : Dans cette vidéo, les membres du personnel
[Image d’un homme debout dans un cockpit, manœuvrant un bateau.]
Narrateur : de quelques-unes de nos stations piscicoles
[Image de réservoirs dans une station piscicole.]
Narrateur : vous présenteront le Programme d’empoissonnement de l’Ontario
[Image d’un camion sortant d’un bâtiment.]
et vous guideront à travers celui-ci.
[Bradley Keyes assis devant la caméra.]
Bradley Keyes : Je m’appelle Bradley Keyes et je suis technicien en pisciculture à
[Image du bâtiment de la station piscicole de Harwood.]
Bradley Keyes : la station piscicole de Harwood. La station piscicole de Harwood est une installation
[Bradley Keyes assis devant la caméra.]
Bradley Keyes : qui produit du poisson
[Image de poissons dans un réservoir.]
Bradley Keyes : à des fins récréatives et de réhabilitation.
[Amanda Ross assise devant la caméra.]
Amanda Ross : Je m’appelle Amanda Ross. Je suis la coordonnatrice des activités de la station piscicole de Harwood.
[Vue en contre-plongée de poissons dans un réservoir.]
Amanda Ross : Harwood dispose de stocks de géniteurs et de productions halieutiques.
[Amanda Ross assise devant la caméra.]
Amanda Ross : Nos stocks de géniteurs sont en fait les poissons desquels
[Panneau indiquant « Réceptiom des oeufs / escaliers ».]
Amanda Ross : nous ramassons nos œufs et que nous faisons frayer nous-mêmes.
[Image de poissons dans un réservoir.]
[Justin Chan debout devant la station piscicole de Chatsworth.]
Justin Chan : Je m’appelle Justin Chan et je suis le coordonnateur intérimaire des activités de la station piscicole de Chatsworth.
[Image de Justin Chan qui se promène dans une station piscicole.]
Justin Chan : L’objectif principal de la division piscicole est de conserver la biodiversité
[Image d’un lac.]
Justin Chan : et d’offrir des occasions de pêche sportive.
[Carte de l’Ontario montrant l’emplacement des stations piscicoles.]
Amanda Ross : Il y a neuf écloseries réparties dans la province, qui participent au programme d’empoissonnement.
[Image d’un poisson dans un réservoir peu éclairé.]
Justin Chan : La station de Chatsworth est l’une des plus grandes stations
[Justin Chan devant la station piscicole de Chatsworth.]
Justin Chan : de production au sein de la division.
[Image de réservoirs dans une station piscicole.]
Justin Chan : Nous produisons généralement jusqu’à 50 tonnes de poissons par année.
[Image de poissons dans un réservoir.]
Justin Chan : Nous avons également le stock de géniteurs de truites brunes qui produisent des œufs pour la division.[Image d’un camion aménagé pour l’empoissonnement.]
Amanda Ross : Harwood possède un camion de cinq tonnes, un camion d’une tonne,
[Amanda Ross assise devant la caméra.]
Amanda Ross : et un camion qui peut accueillir un réservoir à l’arrière. À partir de là, l’empoissonnement peut aussi
[Image d’un hélicoptère jaune en train de décoller.]
Amanda Ross : se faire par hélicoptère,
[Image d’un bateau-remorqueur près d’un quai.]
Amanda Ross : par bateau-remorqueur ou directement
[Image d’un camion aménagé pour l’empoissonnement.]
Amanda Ross : depuis un camion, selon l’accès.
Bradley Keyes : Nous procédons à l’empoissonnement d’un certain nombre de poissons
[Images de deux hommes en train de positionner le camion aménagé pour l’empoissonnement.]
Bradley Keyes : par bateau-remorqueur. Nous allons conduire le camion
[Images de poissons déversés dans le bateau-remorqueur.]
Bradley Keyes : et transférer les poissons dans le bateau-remorqueur
[Image d’un camion aménagé pour l’empoissonnement depuis l’arrière d’un bateau-remorqueur.]
Bradley Keyes : qui partira ensuite pour les mettre à l’eau à un emplacement approprié.
[Image d’une carte sur un écran dans le bateau-remorqueur.]
[Matt Murphy devant le camion aménagé pour l’empoissonnement.]
Matt Murphy : Je m’appelle Matt Murphy. Je suis technicien en gestion de la pêche et de l’écloserie à la station piscicole de Chatsworth.
[Image de trois hommes debout près du château d’eau.]
Matt Murphy : Nous l’appelons le château d’eau. Nous pompons littéralement
[Images de poissons remontant un conduit vertical.]
Matt Murphy : les poissons vers le haut du château.
[Image de Matt Murphy pointant vers le château d’eau.]
Matt Murphy : Les poissons glissent ensuite vers un autre conduit dans le camion.
[Image des tubes du château d’eau.]
Matt Murphy : Les poissons sont maintenant chargés sans utiliser de filets.
[Images de poissons sortant des conduits du château d’eau dans une cuve d’eau.]
Matt Murphy : Personne ne les manipule. C’est plus facile ainsi.
[Image de poissons glissant sur une rampe.]
Matt Murphy : Les poissons sont moins stressés. L’objectif principal est de réhabiliter
[Image de l’intérieur d’une station d’empoisonnement.]
Matt Murphy : les lacs et d’augmenter les populations.
[Tim Dale debout sur un bateau.]
Tim Dale : Je m’appelle Tim Dale. Je suis technicien de la gestion des pêches des Grands Lacs au ministère des Ressources naturelles.
[Image du camion aménagé pour l’empoissonnement.]
Tim Dale : Nous empoissonnons le touladi depuis l’écloserie de la station piscicole de Chatsworth.
[Images de deux hommes raccordant le tuyau du camion aménagé pour l’empoissonnement au tuyau du bateau-remorqueur.]
Tim Dale : Nous nous rangeons le long du quai, nous sommes attachés.
[Tim Dale debout sur un bateau.]
Tim Dale : Nos réservoirs peuvent contenir
[Images de poissons.]
Tim Dale : 280 kg de poissons.
[Image de poissons déversés dans un réservoir.]
Tim Dale : Nous empoissonnons le touladi. C’est une espèce indigène des Grands Lacs, n’est-ce pas?
[Tim Dale debout sur un bateau.]
Tim Dale : En réalité, nous essayons de réhabiliter la population de touladis qui se reproduisent naturellement. Cette population est très importante pour l’écosystème, entre autres.
[Image d’un lac depuis d’un bateau.][Bradley Keyes assis devant la caméra.]
Bradley Keyes : L’une de nos techniques d’empoissonnement se fait par hélicoptère.
[Image d’un hélicoptère jaune en vol.]
Bradley Keyes : Cette technique augmente considérablement la quantité de poissons que nous pouvons déverser rapidement.
[Andrew Graham se dirige vers la caméra.]
Andrew Graham : Bonjour, je m’appelle Andrew Graham et je suis spécialiste technique en gestion intégrée des ressources au ministère des Richesses naturelles et des Forêts. Nous sommes sur le point de charger du poisson de notre camion dans notre hélicoptère
[Fixation des conduits du camion aménagé pour l’empoissonnement à l’hélicoptère jaune.]
Andrew Graham : pour empoissonner certains lacs.
[Andrew debout devant un hélicoptère jaune, pointant vers le réservoir d’empoissonnement.]
Andrew Graham : À l’intérieur de l’hélicoptère, il y a ce gros réservoir qui comporte six compartiments. Une étiquette est apposée à l’avant de chaque compartiment.
[Des poissons sont déversés dans un réservoir.]
Andrew Graham : Si vous tirez sur la glissière, cela va ouvrir ces trappes ici
[Deux hommes devant le réservoir d’empoissonnement de l’hélicoptère.]
Andrew Graham : et permettre aux poissons de sortir par le bas de l’hélicoptère.
[Doug Holtby debout devant l’hélicoptère jaune.]
Doug Holtby : Je m’appelle Doug Holtby. Je suis pilote depuis 48 ans, dont 34 ans
[Doug Holtby préparant l’hélicoptère.]
Doug Holtby : auprès des Services d’aviation.
[Doug Holtby debout devant l’hélicoptère jaune.]
Doug Holtby : L’objectif de l’empoissonnement est de faire en sorte que les poissons parviennent le plus rapidement possible aux lacs.
[Image d’un hélicoptère jaune en vol.]
Amanda Ross : Les hélicoptères décollent
[Amanda Ross assise devant la caméra.]
Amanda Ross : et amènent les poissons à chaque site. Il y a un itinéraire à suivre.
[Image d’un hélicoptère jaune en vol stationnaire au-dessus d’un lac, relâchant des poissons.]
Amanda : À partir de là, il reste en vol stationnaire et le membre du personnel qui monte dans l’hélicoptère
[Amanda Ross assise devant la caméra.]
Amanda Ross : doit ensuite relâcher les poissons, selon le site, de une, deux ou trois cellules du réservoir.
[Image d’un hélicoptère jaune en vol au-dessus d’un lac.]
Amanda Ross : Il fait ensuite un petit survol pour s’assurer que tous les poissons vont bien,
[Image d’un hélicoptère jaune volant dans le ciel.]
Amanda Ross : puis, ils se rendent au lac suivant.
[Doug Holtby debout devant l’hélicoptère jaune.]
Doug Holtby : Lorsqu’il y a des pêcheurs sur le lac au moment de déverser les poissons, ils ont toujours l’air heureux de nous voir.
[Image d’un bateau traversant un lac.]
Doug Holtby : C’est une bonne chose et c’est une partie gratifiante de notre travail.
[Bradley Keyes assis devant la caméra.]
Bradley Keyes : C’est très gratifiant dans le sens où on remet constamment des poissons dans leur environnement et on constate
[Image d’un pêcheur.]
Bradley Keyes : le bonheur de tous ceux qui profitent des occasions de pêche que nous créons.
[Images de personnes sur une plage en train de pêcher au coucher du soleil.]
Narrateur : Nous espérons que vous avez aimé découvrir le
[Image de poissons dans un réservoir.]
Narrateur : Programme d’empoissonnement de l’Ontario du MRN
[Image d’un homme remplissant un bol d’œufs de poisson.]
Narrateur : et rencontrer certains de nos employés dévoués.
[Image de membres du personnel debout sur un bateau-remorqueur.]
Narrateur : Pour en savoir plus sur le Programme d’empoissonnement de l’Ontario,
[Image d’un pêcheur au bord d’un lac brumeux avec « https://www.ontario.ca/fr/page/programme-dempoissonnement-de-lontario » écrit à l’écran.]
Narrateur : consultez le site https://www.ontario.ca/fr/page/programme-dempoissonnement-de-lontario.
[Un écran affichant la page web du Programme d’empoissonnement de l’Ontario.]
Narrateur : Pour explorer notre outil de pêche en ligne et obtenir des renseignements sur les lieux d’empoissonnement en Ontario,
[Une carte des lacs de l’Ontario.]
Narrateur : consultez le site ontario.ca/ONPeche.
[Image d’un grand plan d’eau avec une mouette volant vers l’écran. Les logos de la Division des pêches et de la faune et de l’Ontario apparaissent à l’écran.]